Un examen pas évident
J’en connais qui devraient clairement redouter un échec
J’en connais qui devraient clairement redouter un échec
Pumpipumpe pour partager ses objets du quotidien avec ses voisins,…
Quelques liens à lire dans mon navigateur:
J’ai participé samedi passé à la 1ère journée du numérique: « Education numérique : quels enjeux pour l’école vaudoise ? ». Pour rappel Mme Amarelle (et le conseil d’Etat) a, dans le programme de la nouvelle législature 2017-2022, fait du numérique une priorité: “Accompagner la transition numérique de la société. Développer l’éducation numérique et la culture générale de la numérisation dans l’ensemble du système de formation.”.
Cette conférence était donc la 1ère initiative pour soutenir ce programme et devrait être suivie d’autres événements. Un document de travail a été transmis à mes collègues mais voici quelques apprentissages:
Autres sources d’informations sur cette journée:
No Hands Up is actually a simplification. Generally speaking, it is about a changed classroom dynamic in which the teacher poses questions to the whole class rather than to individuals. One a question is set, children have time to think through their answers and/or discuss their ideas with a partner. Once that thinking time is over, every single child has no excuse for having nothing to share. The teacher can select any child, and everybody can – at least – rehash what they discussed with their partner. A good teacher can then weave their ideas into a learning narrative.
Finally, crucially, No Hands Up refers only to children’s answering, children raise their hands whenever they like to ask questions.
Here are some pages open in my browser which require my attention:
Ci-dessous quelques liens sur le revenu de base inconditionnel alors que je suis en train de me documenter sur ce sujet “prometteur”:
Offrir 2500 francs par mois à chaque Suisse, c’est possible
Le revenu inconditionnel offre une porte de sortie aux impasses du productivisme et de la recherche désespérée du plein emploi. Il permettrait à chaque habitant de mener une vie digne sans avoir nécessairement un emploi rétribué à plein temps. Il jouerait aussi le rôle d’une sorte de rétribution forfaitaire pour la masse considérable des travaux d’utilité publique accomplis aujourd’hui gratuitement, sans décomptes horaires ni calculs de rentabilité: le travail ménager, l’éducation des enfants, l’entraide entre voisins, et toutes les activités sociales, humanitaires ou culturelles accomplies au sein du monde associatif.
Le revenu inconditionnel changerait notre rapport au travail. Il doit être assez bas pour maintenir l’attrait d’un emploi salarié, mais suffisant pour qu’aucun chômeur ne se trouve contraint d’accepter n’importe quel travail pénible et mal payé. Il augmenterait la possibilité pour chacun de choisir un travail chargé de sens, correspondant à ses capacités, à ses goûts ou à sa vocation personnelle. Il favoriserait l’esprit d’initiative et l’éclosion d’une économie moins obsédée par le profit à court terme.
Le RBI favoriserait l’esprit d’initiative… oui, et c’est certainement pour cela que même Y Combinator un des plus grands accélérateurs de start-ups lance un programme autour du concept de “Basic income”:
L’une des interrogations récurrentes, et légitimes, sur le sujet consiste évidemment son financement. Il y a des solutions comme par exemple la taxation des paiements électroniques ou aussi, encore plus intéressant, reconnaître le “digital labor” comme une activité productive centrale dans la société numérique»:
Le Temps: Des clics et des «likes» pour financer le revenu de base
et toutes les réponses aux objections courantes sont disponibles sur le site de Génération RBI
Au mois de mars cette année j’ai acheté une nouvelle bouilloire, accessoire indispensable aux grands (en quantité) buveurs de thé que nous sommes dans la famille. La semaine passée, donc à peine plus de 6 mois après son achat, j’ai constaté qu’elle fuyait, en particulier lorsque je chauffais de l’eau, ce qui est plutôt embêtant pour une bouilloire admettons-le.
Je m’en vais donc au magasin avec ma bouilloire sous le bras et la garantie dans la poche tout décidé à la faire réparer. Arrivé sur place et alors que je m’attendais à devoir remplir une fiche de réparation la personne du service client m’annonce très fièrement que vu le prix payé (juste au dessus de CHF 40.- en promotion) ils ne vont même pas chercher à la réparer mais me la remplacer par une bouilloire identique et elle s’exécuta sur le champ.
Tout étonné de la facilité avec laquelle ma bouilloire avait été changée je réfléchissais sur le chemin du retour au concept d’obsolescence programmée et j’ai réalisé que je venais de vivre une nouvelle sorte d’expérience: celle de l'”eau chaude en tant que service” (“Hot water as a service”), je n’avais pas acheté un objet mais j’avais acheté la garantie d’avoir de l’eau chaude pendant au moins deux ans (mais certainement pas beaucoup plus). On a dépassé le stade où on programmait l’obsolescence, on se contente maintenant de me vendre un objet de piètre qualité mais dont on aura réduit au minimum les coûts de production, quitte à devoir me le changer plusieurs fois pendant la durée de la garantie. On espère juste qu’au-delà je resterai client en rachetant une bouilloire… ou plutôt en renouvelant ma souscription à de l’eau chaude pendant 2 nouvelles années.
Blackphone, Intelligence artificielle, cryptographie, Avicii, hackers, #Millenium4 est décidément très tendance. https://t.co/TvDDbNFeXU